Mieux qu'un masque, une grosse tête de Carnaval qui repose sur les épaules, en carton ou en papier, dans laquelle on se cache. En une heure ou deux, et à base de récup, bouchons, rubans, jolis papiers-cadeaux, rouleaux d'essuie-tout ou autres papiers, bouts de ficelle, plumes, coquillages…Le jeu des masques commence par la récolte de merveilleux petits riens.
Une feuille de carton ondulé d'environ 80x45 cm. On en fait un grand tube, en l'enroulant et on y cache la tête.
Les yeux du masque seront bien plus haut que ceux de l'enfant. On demande à l'enfant d'indiquer la place de ses yeux et on marque un repère au crayon. On enlève le tube de carton, on remet la feuille à plat, et on découpe une ouverture à l'endroit repéré. Le mieux est de découper un rectangle -ou une demie-lune, si l'on veut un masque souriant- et d'en faire la bouche de la grosse tête. On pourra y coller des dents en papier et une langue.
Alors on dessine les yeux, ou on colle des ronds de papier, ou des bouchons, et puis on fait le nez, ou le bec, plat, découpé ou en relief…les oreilles, ou les cornes. Et on colle laine ou raffia, papiers de soie, plumes…
Il n'y a plus qu'à reformer le tube en carton, fixé avec des agrafes ou des trombones, et des bandes de scotch solide.
Vous n'avez pas de carton ondulé ? Prenez un carton d'emballage, ou un sac en papier, dans lequel l'enfant cachera sa tête ou son corps tout entier !
Masques réalisés par les enfants de l'Ecole Suédoise de Paris, atelier animé en collaboration avec Lola Gavarry.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire